Une femme digne, jamais remariée, qui me raconte le calvaire après la mort du chanteur populaire.
Il lui a fallu attendre 20 ans pour que la justice accepte de lui reconnaître ses droits sur la maison qu’ils avaient ensemble.
Après l’assassinat du chanteur en 1994, l’Etat algérien a donné une assurance-vie de 64 petits millions de centimes de DA à sa famille. Ainsi, la valeur de ce grand chanteur populaire n’excédait pas le prix d’un concert de Raï.
Bref, belle rencontre au hasard de cette marche pacifique entre Tlemcen et Alger.
La Wilaya de Ain-Temouchent est vraiment très jolie et très fleurie.